mercredi 13 juin 2012

Merci!


Nous  remercions les 2407 électeurs du Val de Marne qui nous ont fait confiance en nous
 accordant leurs suffrages le 10 juin dernier.

L'objectif fixé par Debout la République a été atteint au niveau
national, avec 101 candidats au dessus de 1% des exprimés,
nous ouvrant ainsi l'accès au financement public.


De ce fait, Debout La République va maintenant s'inscrire durablement dans le paysage politique français.

De plus, notre Président, Nicolas Dupont Aignan, est en ballotage favorable pour le 2ème tour

de la 8ème circonscription de l'Essonne, et devrait donc normalement retrouver le chemin de l'Assemblée Nationale le 18 juin prochain.




Nous continuerons de défendre le projet politique auquel nous croyons lors des futures échéances électorales.



En ce qui concerne le deuxième tour des Législatives, vos voix ne nous appartiennent pas,
et chacun de nos électeurs est libre de porter en son âme et conscience
sa voix sur le candidat de son choix, ou de voter blanc.


Christian Lasnier (candidat 1ère circonscription),

Dominique Stefanoff (candidate 3ème circonscription),


Gilbert Chevalier , (candidat 4ème circonscription),

Julie Guicheteau (candidate 5ème circonscription),


Patrick Chambers (candidat 6ème circonscription),

Anne Ginieis (candidate 8ème circonscription)

samedi 2 juin 2012

Réponse des candidats DLR à la FSU 94

Bonjour,
nous avons bien reçus vos propositions et nous vous faisons part de notre côté de notre projet pour l'éducation:

NOS PROPOSITIONS POUR DOPER L’ECOLE DE LA REPUBLIQUE
Garantir les savoirs fondamentaux
Il est tout simplement inadmissible qu’un pays comme la France laisse de côté 30 %
de ses enfants en acceptant qu’ils ne maîtrisent pas les fondamentaux et qu’ils démarrent dans
la vie avec un si gros handicap. Nous voulons :
- Augmenter le nombre d’heures hebdomadaires consacrées au français dans le cycle
élémentaire de 10 à 16 h (comme en 1969) et dédoubler au maximum les classes
de CP pour faciliter l’apprentissage de la lecture et limiter toute prise de retard.
- Garantir la gratuité des concours pour les grandes écoles qui rackettent aujourd’hui les
étudiants souhaitant les intégrer.
Restaurer l’autorité du professeur et du maître sur sa classe
La perte d’autorité des professeurs et des instituteurs est une des raisons majeures des
problèmes actuels. C’est pourquoi il faut :
- Réaffirmer l’autorité du conseil de classe pour les décisions de passage ou
d’orientation, en limitant les possibilités d’appel, et de donner le pouvoir à tout
professeur de convoquer un conseil de discipline sans avoir besoin de l’aval de
l’administration.
- Que chaque élève gravement perturbateur puisse être exclu d’un établissement et pris
en charge dans un environnement spécialisé, à vocation disciplinaire et éducative.
Des enseignants mieux récompensés
Les coupes arbitraires d’effectifs et la dévalorisation de la condition enseignante ont
créé un profond malaise dans un corps enseignant pourtant dévoué. C’est pourquoi :
- Nous mettrons fin à la règle du non remplacement d’un fonctionnaire sur deux pour
permettre de recruter plus d’enseignants là où il y en a besoin (notamment du CP au
CE2 pour assurer un meilleur apprentissage des fondamentaux) et mieux récompenser
l’enseignement dans les zones difficiles.
- Travailler davantage avec les instituteurs et professeurs qui se battent au quotidien sur
le terrain, souvent avec foi et talent.
Démocratiser l’accès à l’enseignement supérieur
Nous assistons à une transformation de notre système d’enseignement supérieur : le
coût des études augmente sans cesse et le niveau d’accès au supérieur stagne autour de 25%,
classant la France au 19ème rang des pays de l’OCDE en 2008. Pour y remédier nous proposons :
- Une augmentation de 2012 à 2017 de 6.7 milliards d’euros du budget de
l'enseignement supérieur et la recherche pour rattraper notre retard en renforçant les
rôles spécifiques et le partenariat entre écoles, universités et IUT.
- Cette augmentation des moyens doit permettre un accès plus démocratique à
l’enseignement supérieur par des bourses au mérite, la réduction des frais
d’inscription, la gratuité des concours et la création de quotas en classes préparatoires
aux grandes écoles. :
- Pour éviter les problèmes d’orientation, Debout la République propose également une vraie sélection au
mérite à l’entrée de l’université pour les filières qui ont des problèmes de débouchés.
Bien à vous
Les candidats à l'élection législative DLR du Val de Marne

Réponse des candidats DLR à l'interpellation de l'association Solidarités Nouvelles pour le Logement

Bonjour Monsieur,


Nous avons bien pris note de votre interpellation au sujet du logement et nous venons vous transmettre la position de notre partie sur la question.
Notre programme sur le logement prévoit l'accession à la propriété de 2 millions de ménages sur 5 ans. Celà est possible par la mise en place de prêt par l'Etat et la vente d'une partie des logements HLM à leurs locataires. De plus nous voulons d'un retour du Prêt à Taux Zéro plein et entier et non plus uniquement sur l'acquisition d'un bâtit neuf. En effet, par cette simple phrase, c'est 75% des logements qui ne sont pas admissible au PTZ.
Nous considérons également que la SRU n'est pas une loi adaptée au maillage de la population française. En effet, nous avons des villes ou du bâti social sort de terre sans que le besoin ne s'en fasse sentir, et nous avons des villes qui stoppent la construction alors même que la demande est encore forte. Nous pensons donc que la planification doit se faire à l'échelon nationale et non local. Dans un meêm temps, nous voulons jouer sur la fiscalité en taxant plus fort les terrains non bâtis là ou la demande de logement est supérieur à l'offre, actuellement il n'y a pas de flexibilité de la taxe et partout en France, un terrain non bati est taxé moins fortement qu'un terrain bâti.
Nous souhaitons aussi permettre aux revenus modestes d'accéder au parc privé de location via la mise en place d'un véritable fond de garantie national.

Mais nous ne nous voilons pas la face et nous n'ignorons pas les centaines de milliers de Sans Domicile Fixe ou de personnes fragiles. C'est pourquoi nous sommes pour le développement de centres d'accueil notamment mixte, ou pourrons être accueillis les couples et les familles.
Nous développerons les logements très sociaux, intermédiaires entre le logement privé et le logement social.
Enfin, nous encouragerons le développement du secteur de l'économie sociale et solidaire. Nous avons comme modèle l'association mise en place à Yerres qui fait le lien entre des propriétaires qui ont des pièces de libres chez eux et des personnes à revenus très modestes et ne trouvant à se loger provisoirement. Le propriétaire perçoit un complément de revenu et il est plus serein car une autre personne vit à demeure et peut surveiller la maison et le foyer. En contre partie, l'accession au bail est simplifié.
En espérant vous avoir répondu et étant à votre disposition pour de plus amples informations.

Cordialement,

DLR Val de Marne.