samedi 19 mai 2012

Christian Lasnier, candidat DLR pour la 1ère circonscription

Avant d'aller plus avant dans mes motivations, voici une brève présentation, j'ai 49 ans à l'heure où j'écris ces lignes, père de 3 enfants 18, 14 et 11 ans. Je travaille comme Chef de Projets dans une grande entreprise ou je gère des projets informatiques.

J'habite dans le Val de Marne depuis plus de vingt ans.

De plus en plus conscient des problèmes actuels, je me suis engagé en politique très récemment. J'ai choisis Nicolas DUPONT-AIGNAN car je suis en accord avec les idées qu'il défend et la vue qu'il a sur la société actuelle.

Les responsables en place aujourd'hui sont coupables de la dégradation de notre système actuel, qu'elle soit politique, économique ou environnementale.
Les responsables qui se sont succédés au cours des dernières années n’ont rien fait pour améliorer la situation, qu’ils aient été de droite ou de gauche n'a rien changé, la situation de la France s’est dégradée d’année en année, la crise que nous vivons actuellement, très loin d’être finie n’est que le résultat de la gestion calamiteuse à court terme de l’oligarchie au pouvoir.

Notre démocratie ne prend pas en compte l'intérêt général, mais plutôt les intérêts privés. Je ne prendrais qu'un seul exemple, les Français avait dit NON à 54,67% à la Constitution pour l’Europe. Que c'est il passé ensuite? ... Les dirigeants ont remodelé le traité à Lisbonne qui est passé par voie parlementaire faisant fi de l'avis du peuple.

Les difficultés que nous vivons aujourd'hui sont en partie issues de ce texte, l’exemple le plus flagrant est la création monétaire. Il est désormais interdit pour un état de se financer directement auprès de sa banque centrale. Mais l’obligation est faite, par l’article 123 du traité de Lisbonne, aux états de se financer auprès des banques privées. Et nous voilà obligés de payer nos dépenses en empruntant auprès «des marchés», avec bien sûr la cohorte de contraintes liées à ce système : dépendance aux agences de notation, taux fluctuant (surtout à la hausse), spéculation sur notre dette, etc.

Comment justifier aujourd’hui que les banques privées arrivent à se financer à 1% auprès de la BCE et que les états doivent passer  "sous les fourches caudines" de ces mêmes banques qui ne vont pas hésiter à prêter à 20% à la Grèce, 6% à l’Espagne et 3% à la France.
 
Ce déni de démocratie n'est qu'un exemple parmi tant d'autres des problèmes qui se posent à notre pays.
 
Je pourrais aussi bien parler des défauts de notre système éducatif, des réductions toujours plus importantes de nos acquis sociaux, de la difficulté pour nos enfants de trouver un emploi ou un logement, etc.
 
Je souhaite partager avec vous mes préoccupations, vous écouter, dialoguer et vous présenter quelles solutions je vous propose de mettre en place afin de nous assurer à tous un avenir meilleur.
  
Christian LASNIER
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Contactez-moi sur: christian.lasnier.dlr@gmail.com 

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