Avant
d'aller plus avant dans mes motivations, voici une brève présentation,
j'ai 49 ans à l'heure où j'écris ces lignes,
père de 3 enfants 18, 14 et 11 ans. Je travaille comme Chef de
Projets dans une grande entreprise ou je gère des projets informatiques.
J'habite dans le Val de Marne depuis plus de vingt ans.
De plus en plus conscient des problèmes actuels, je me suis engagé en politique très récemment. J'ai choisis Nicolas
DUPONT-AIGNAN car je suis en accord avec les idées qu'il défend et la vue qu'il a sur la société actuelle.
Les responsables en place aujourd'hui sont coupables de la dégradation de notre système actuel, qu'elle soit politique,
économique ou environnementale.
Les
responsables qui se sont succédés au cours des dernières années n’ont
rien fait pour améliorer la situation, qu’ils
aient été de droite ou de gauche n'a rien changé, la situation de la
France s’est dégradée d’année en année, la crise que nous vivons
actuellement, très loin d’être finie n’est que le résultat de
la gestion calamiteuse à court terme de l’oligarchie au pouvoir.
Notre
démocratie ne prend pas en compte l'intérêt général, mais plutôt les
intérêts privés. Je ne prendrais qu'un seul
exemple, les Français avait dit NON à 54,67% à la Constitution pour
l’Europe. Que c'est il passé ensuite? ... Les dirigeants ont remodelé le
traité à Lisbonne qui est passé par voie parlementaire
faisant fi de l'avis du peuple.
Les
difficultés que nous vivons aujourd'hui sont en partie issues de ce
texte, l’exemple le plus flagrant est la création
monétaire. Il est désormais interdit pour un état de se financer
directement auprès de sa banque centrale. Mais l’obligation est faite,
par l’article 123 du traité de Lisbonne, aux états de se
financer auprès des banques privées. Et nous voilà obligés de payer
nos dépenses en empruntant auprès «des marchés», avec bien sûr la cohorte
de contraintes liées à ce système : dépendance aux
agences de notation, taux fluctuant (surtout à la hausse),
spéculation sur notre dette, etc.
Comment justifier aujourd’hui que les banques privées arrivent à se financer à 1% auprès de la BCE et que les états doivent
passer "sous les fourches caudines" de ces mêmes banques qui ne vont pas hésiter à prêter à 20% à la Grèce, 6% à
l’Espagne et 3% à la France.
Ce déni de démocratie n'est qu'un exemple parmi tant d'autres des problèmes qui se posent à notre pays.
Je pourrais aussi bien parler des défauts de notre système éducatif, des réductions toujours plus importantes de nos acquis
sociaux, de la difficulté pour nos enfants de trouver un emploi ou un logement, etc.
Je souhaite partager avec vous mes préoccupations, vous écouter, dialoguer et vous présenter quelles solutions je vous
propose de mettre en place afin de nous assurer à tous un avenir meilleur.
Christian LASNIER
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Contactez-moi sur: christian.lasnier.dlr@gmail.com
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